JLH énergie Formation - Dr Jean-Luc Haziza
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26
JAN
2015

Une enquête aux résultats vertigineux

Selon la seconde édition de l’étude de l’Institut Great Place to Work ®*
En France, soit près de 20% des  salariés  d’entreprise ont déjà fait un burn-out.

L’étude révèle un pessimisme ambiant : management, convivialité, perspectives d’évolution…

  • 83% des salariés pessimistes sur une reprise économique rapide en France
  • 39% des salariés trouvent que l’ambiance au travail se dégrade

 

48% des salariés sont confrontés à une situation de burn-out :
les professions intermédiaires, les cadres ou les managers (56%) ainsi que les femmes (53%) et les salariés dont l’âge se situe entre 45 et 54 ans (53%) sont les plus concernés.

En d’autres termes, 1 salarié sur 2 déclare être confronté soit directement ou soit pour un proche, à une situation de burn-out (arrêt de travail soudain suite à un épuisement lié aux conditions de travail).

Et presque 2 salariés sur 10 avouent être concernés personnellement par un burn-out.
Cette maladie professionnelle est donc très présente en entreprise.

Le moral des Français : 58% des salariés français interrogés en moyenne, sont pessimistes à propos du contexte économique et le marché de l’emploi de leur secteur. D’autant plus que le travail se révèle être une partie intégrante du bien-être et de l’épanouissement des salariés et pas seulement le moyen de gagner leur vie.

Paradoxe français: seule 1 entreprise sur 3 prendrait en compte le bien-être au travail !

Pourtant il conviendrait de limiter les risques psycho-sociaux de ses collaborateurs.
Pour prévenir le burnout et de façon plus générale le stress en entreprise, les managers et les collaborateurs sont sensibilisés par le biais de la formation sur le sujet ainsi que  sur l’équilibre entre la vie privée et la vie professionnelle.

Le bien-être des salariés est encore amélioré par la proposition d’activités de relaxation  telles le yoga, le massage sur chaise..

* Enquête menée avec l’Institut Think auprès d’un échantillon de 1000 salariés représentatif de la population active française issus d‘entreprises et d’administrations de toutes tailles et de tous secteurs.

Article Source
08
DéC
2014

Faire reconnaître le burn out comme maladie professionnelle

Une trentaine de députés demandent la reconnaissance du burn out comme maladie professionnelle, dans une tribune publiée dimanche par « le Journal du dimanche ».

« Cette reconnaissance est indispensable pour faire que les effets de l’épuisement nerveux au travail soient à la charge de ceux qui en sont responsables, c’est-à-dire les employeurs », indiquent ces élus, tous issus de la majorité.

Ces députés souhaitent faire « basculer le financement » de ce syndrome d’épuisement professionnel « sur la branche Accident du travail et maladies professionnelles – financée par les cotisations patronales à 97 % ».

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26
NOV
2014

En Ile-de-France, le burn out menace

62 % des infirmiers et 61 % des masseurs-kinésithérapeutes d’Ile-de-France se sentent personnellement menacés par l’épuisement professionnel, révèle une étude (1) présentée ce mardi par l’Association d’aide aux professionnels de santé et médecins libéraux (AAPml) et les infirmiers et kinéslibéraux de l’Union régionale des professionnels de santé (URPS) d’Ile-de-France.

En 2007, la même enquête indiquait que 61 % des médecins généralistes se disaient pareillement menacés (et 53 % des médecins dans leur ensemble).

Excès de paperasserie

Les causes de burn out évoquées par les trois professions font preuve d’un malaise général au monde de la santé, transdisciplinaire et relatif à l’organisation même du système de soins.

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