JLH énergie Formation - Dr Jean-Luc Haziza
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24
DéC
2019
Quand les grèves font craquer le Dr Médoc

Quand les grèves font craquer le Dr Médoc…

Docteur « Médoc », est un médecin consciencieux comme la grande majorité de ses confrères.
Ce jour de grève générale, où la population se presse dans les quelques métros ou trains ou bus encore en service, ne le décourage pas de se rendre à son cabinet pour assurer les consultations.
Il a mis deux à trois fois plus de temps à se rendre à son cabinet mais le sens du devoir l’anime et il n’aurait même pas pensé renoncer et rester chez lui. Beaucoup de ses patients n’ont pas pu venir et ont décommandé leur rendez-vous.
Dr Médoc n’est même pas dépité, il a toujours une tâche à accomplir : les courriers, la comptabilité, les commandes, stériliser ses instruments…

Tout le monde n’est pas en grève…

Quel choc en sortant du cabinet de trouver une contravention sur son pare-brise. Donc tout le monde n’est pas en grève !
Un rapide calcul : deux heures de bouchons pour arriver au cabinet, très peu de patients et finalement il paiera en contravention plus qu’il n’aura gagné aujourd’hui.

Quelle ironie : pas de transports (en grève) donc bien obligé de prendre sa voiture et de se confronter aux énormes difficultés de la circulation en conséquence de l’afflux de voiture et comme si cela ne suffisait pas, aucune tolérance pour le stationnement. Pire…

se sentir pris entre deux feux, comme pris à un piège tendu par les autorités, en somme pris entre le marteau et l’enclume.

Au préalable, les médecins bénéficiaient d’une tolérance dans leur stationnement grâce à leur caducée. Ce dernier privilège leur a été retiré.

Une entrave de plus à l’exercice de la médecine en France. Pourtant ils n’en n’ont pas besoin !

L’alerte de la H.A.S

La Haute Autorité de Santé, a publié dans sa fiche sur le « Repérage et prises en charge cliniques du syndrome d’épuisement professionnel ou burnout ». 2017. Elle mentionne sur les particularités des soignants : « Population à risque historiquement identifiée et objet de nombreuses études récentes montrant une morbidité particulièrement élevée, les professionnels de santé en activité ou en formation sont exposés au risque d’épuisement professionnel, étant donné la pénibilité de leur travail que ce soit pour des causes intrinsèques liées à la nature même de l’activité médicale (confrontation avec la souffrance et la mort, prises en charge impliquant l’entrée dans l’intimité des patients, etc.) ou des causes extrinsèques (charge et organisation du travail, etc.). »

Si en plus de tous leurs soucis, les professionnels de santé se voient sanctionnés à coup de contraventions dans une période où ils travaillent malgré les troubles et les grandes difficultés pour se déplacer, alors il y a de quoi craquer !

Eux comme beaucoup d’autres corps de métier qui sont bien obligés de prendre leur voiture.
Ainsi devant l’incohérence de la situation et l’imprécision des messages il ne faut pas s’étonner de générer du stress voire de perdre pied.

A l’inverse, et le psychologue Karasek l’a bien démontré. Même avec une charge de travail lourde, le soutien que l’on reçoit de son entourage, de sa famille et bien sûr de l’autorité nous permet de tenir bon. En effet, ce soutien que l’on reçoit réduit l’effet néfaste des tensions, le stress et le risque de burn out.

Également, la clarté des messages, la cohérence des missions permettent de bien comprendre la situation et d’affronter des difficultés avec sérénité.

Nos gouvernants pourraient s’en inspirer…

28
OCT
2019
Policiers en burn out

Policiers en burn out

Burn-out aussi chez les policiers ?

Délégué national chargé des conditions de travail au syndicat de police Alliance, Frédéric Galéa, était interviewé par France Info en avril 2019 après l’annonce du ministre de l’Intérieur de la création d’une « cellule alerte prévention suicide ».

La police est loin d’être épargnée par le fléau des burn-out que connait notre société. Nous déplorons une cinquantaine de suicides par an depuis près de vingt ans ! Cela pousse à réfléchir, à chercher des remèdes.

Il faut « agir en amont, sur les conditions de travail, sur l’organisation du travail, sur le management et réussir à réconcilier vie privée avec vie professionnelle » a affirmé le responsable syndical.

Régulièrement sont mis en place des plans d’accompagnement, des mesures de soutien par des psychologues, un suivi social et médical, en 2010, 2015, 2018… pour accompagner le personnel fragilisé.

En fait d’un plan à l’autre, quels sont les progrès réellement enregistrés? Pourquoi toujours autant de drames et de suicides dans la profession?

« Une hiérarchie défaillante ou un management trop défaillant, trop directif, peut mettre complètement en situation de souffrance toute une unité de police. »

 

Les policiers ont-ils la sensation d’une perte de sens dans leur métier ?

Aujourd’hui, beaucoup d’entre eux s’interrogent sur le sens de leurs missions et sur leur véritable utilité. Quand on prend le temps de les écouter, ils disent, ‘je ne suis pas rentré dans la police nationale pour faire la plante verte, pour faire des tâches qui ne correspondent pas véritablement à ma profession’. Ces tâches indues viennent rajouter à ce malaise qui petit à petit glisse vers un mal-être policier.

Aujourd’hui la plupart des plans étaient de détecter des agents fragilisés, nous ce qu’on souhaite en tant que policiers, c’est de trouver les mesures qui empêchent les policiers d’être fragilisés par leur métier.

C’est agir en amont, sur les conditions de travail, sur l’organisation du travail, sur le management et réussir à réconcilier vie privée avec vie professionnelle. Quand on n’est pas impacté par le terrorisme, on est impacté par le maintien de l’ordre, ou par une délinquance de plus en plus violente et puis aussi depuis Magnanville et certains actes terroristes, le policier est une cible. Et l’inquiétude supplémentaire, qui rajoute du stress, c’est qu’il comprend que sa famille peut aussi devenir une cible ».

L’analyse est pertinente.

En effet, le burn out réalise la forme ultime de stress. Le risque suicidaire est très important à ce stade.

Le burn out atteint les meilleurs d’entre-nous, dans tous les corps de métier.

Il atteint les personnes les plus impliquées dans leur travail, les amoureux de leur travail, ceux qui sont le plus affectivement investis dans leurs tâches.

Le burn out s’apparente beaucoup à une dépression d’épuisement en relation avec le travail. Le sujet est caractérisé par cet épuisement physique et psychologique, la perte de sens de son travail qui pourtant occupait une si grande place dans sa vie et un grand vide émotionnel. Il est aisé de comprendre dans quel désarroi et désespoir se trouve la personne atteinte de burn out.
Bien sûr la vie privée entre également en jeu avec son lot de soucis mais aussi le possible soutien qu’il apporte et permet de mieux résister au stress. Ce soutien est essentiellement familial.

Quelle solution au burn out ?

La réelle solution est bien d’agir en amont, une véritable prévention. En effet, La personne atteinte de burn out a sa personnalité brisée. Et comme un vase brisé, on a beau recoller les morceaux, cela ne sera jamais comme avant.

Et c’est bien le problème. Rares sont les personnes qui pourront reprendre leur activité professionnelle et la plupart du temps, requalifiée dans à poste comportant moins de responsabilités.

Le rôle du policier est très noble, il est le gardien de l’ordre dans notre société. Sa vocation est d’aider, de prêter assistance, de protéger.

Je réfléchis souvent aux efforts et à tous les risques que prennent les policiers dans leurs missions et les arrestations et qu’ensuite, en aval, la justice, elle-même débordée, semble ne pas prendre le relais de tout cet investissement. Les délinquants semblent être relâchés si vite. Il s’en suit une certaine incohérence des missions, des attitudes contradictoires.

Comment ne pas perdre pied dans ce contexte et rester serein quand, en plus il faut faire face à une certaine mésestime voire une agressivité de la population ?

Je pense sincèrement que l’amélioration de la qualité de vie au travail des policiers passe par plus de soutien hiérarchique. Que les policiers se sentent soutenus par leurs supérieurs. Que les missions soient bien clarifiées. Que les relations verticales restent empreintes de respect pour que perdure l’esprit de leur expression « je fais partie de la Maison !».

18
JUIL
2019
Le bonheur c'est la santé…comment contribuer à une meilleure qualité de vie au travail

Le bonheur c’est la santé…

À moins que vous ne soyez sans doute plutôt habitués à fredonner :  » le travail c’est la santé… » que les plus jeunes ne doivent pas connaître.
« Le travail c’est la santé » est une chanson composée et interprétée, en 1965, par Henri Salvador, chanteur et humoriste.

Paroles :

 

Le travail c’est la santé
Rien faire c’est la conserver
Les prisonniers du boulot
N’font pas de vieux os.

 Ces gens qui cour’nt au grand galop
En auto, métro ou vélo
Vont-ils voir un film rigolo ?
Mais non, ils vont à leur boulot

 Le travail c’est la santé
Rien faire c’est la conserver
Les prisonniers du boulot
N’font pas de vieux os.

 Ils boss’nt onze mois pour les vacances
Et sont crevés quand elles commencent
Un mois plus tard, ils sont costauds
Mais faut reprendre le boulot

 Dire qu’il y a des gens en pagaille
Qui courent sans cesse après le travail
Moi le travail me court après
Il n’est pas près de m’rattraper.

Maint’nant dans le plus p’tit village
Les gens travaillent comme des sauvages
Pour se payer tout le confort
Quand ils l’ont, eh bien, ils sont morts. 

Homm’s d’affaires et meneurs de foule
Travaill’nt à en perdre la boule
Et meur’nt d’une maladie d’cœur
C’est très rare chez les pétanqueurs !

La santé au travail n’est plus vraiment une réalité, en tout cas dans bon nombre d’entreprises.

Le bilan est tristement officiel :

  • Les salariés sont 37% à déclarer connaître une situation de « fragilité professionnelle,
  • en majorité à cause de conditions de travail physiques ou psychiques éprouvantes (31%),
  • une perte de sens et un sentiment fort de déshumanisation du travail (23%),
  • ou une grande difficulté à concilier vie personnelle et professionnelle (11%).

Rapport dans Le Figaro Économie du 26/06/2018.

Burn out… Dépression… Incapacité de travail…
Autant de vies brisées par le travail ou plutôt par une pression au travail qui fait … »péter les plombs » -passez-moi l’expression-

Tirez la sonnette d’alarme

En effet, je tire la sonnette d’alarme parce que l’heure est grave et il n’y a plus de temps à perdre en faux fuyants ou pour la langue de bois.
J’ai participé récemment au congrès médical international d’homéopathie en infectiologie où j’ai pris la parole sur le thème du lien entre stress et infections.
J’ai également été invité cette année au congrès international d’oncologie IFODS à échanger avec mes confrères cancérologues et débattre sur les liens entre stress et cancers.

le stress est immunodépresseur

La preuve est faite : le stress est immunodépresseur. C’est à dire qu’il abaisse les défenses immunitaires.
Les connaissances scientifiques modernes à ce sujet sont indéniables. Les rouages en sont connus. La baisse des défenses s’opère par une altération des lymphocytes T, dont la fonction est justement de détruire les microbes ou les cellules anormales. Détectés et détruits dès leurs apparitions, il n’y aura ni infections ni cancers. C’est le fonctionnement merveilleux de notre système de défense naturel, le système immunitaire qui est altéré par le stress. Les cellules de défense ne sont plus assez efficaces.

Alterner entre quatre nuits de travail et quatre nuits de repos n’est toutefois pas sans risque pour la santé : « J’ai eu des problèmes de dos, de sommeil, de digestion. Il m’est aussi arrivé d’avoir des crises d’angoisses par rapport au surplus de boulot. »
L’Institut national de recherche et de sécurité affirme, dans un dossier consacré, que de nombreux effets psychiques (troubles de l’humeur, augmentation de la dépression, anxiété, irritabilité, troubles de la personnalité) peuvent à terme toucher le personnel de nuit. « Le travail de nuit peut augmenter le risque de cancer du sein chez la femme, qui serait dû aux perturbations des rythmes biologiques. » Une des raisons qui poussent Manon à la réflexion :

« Mon médecin m’avait prévenu qu’au bout de cinq ans de nuit, les effets pouvaient être irrémédiables. Ça fait un an et demi que je songe à repasser de jour. » Publié le 02/07/2019 par Alexandre LOC’H dans LE FIGARO.

 

La qualité de vie et la gestion du stress au travail sont certes des éléments psychosociaux mais bel et bien des atouts pour la santé.

Selon l’ANACT : Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail : « La reconnaissance de la qualité de vie au travail comme source de création de valeur et d’avantage concurrentiel donne lieu à une prise en compte croissante des dimensions liées à la santé et aux conditions de travail. Un enjeu de compétitivité étroitement lié à la capacité de prévenir les situations à risques et de créer les conditions du bien-être au travail. »

 

 » Ils boss’nt onze mois pour les vacances
Et sont crevés quand elles commencent
Un mois plus tard, ils sont costauds
Mais faut reprendre le boulot « 

Il est bien clair que des conditions de travail agréables génèrent une meilleure implication des employés et une production accrue. Notre société doit redonner du sens au travail en matière d’épanouissement et même retrouver ce sens d’appartenance qui animait souvent nos ainés dans leurs entreprises.

Les entreprises ont tout intérêt à veiller au bien être de leur collaborateurs. Elles en ont déjà l’obligation légale par l’article L -4121 du code du travail mais il en va de leur propre intérêt et bénéfice.

 » Homm’s d’affaires et meneurs de foule
Travaill’nt à en perdre la boule
Et meur’nt d’une maladie d’cœur
C’est très rare chez les pétanqueurs ! « 

La liste des pathologies liées au stress ne s’arrête pas là. Les accidents vasculaires cérébraux ou cardiaques en font tristement partie.
Enfin, à propos des économies de santé que l’on nous demande de faire :

L’Assurance-maladie propose à nouveau 2 milliards d’euros d’économies.
Dans son rapport annuel publié, l’Assurance-maladie apporte sa contribution à la construction du budget de la Sécurité sociale pour 2020. Pour la troisième année d’affilée, les économies envisagées avoisinent 2 milliards d’euros, sans compter les baisses de prix du médicament. Les ECHOS, juin 2018.

Le stress est estimé responsable de la moitié des arrêts de travail, directement par les troubles psychologiques et indirectement par les troubles somatiques comme les douleurs articulaires et musculaires, les douleurs de ventre…
Le coût du stress en France est évalué à 2 ou 3 milliards d’euros par an. (Dépenses de frais de consultations et de médicaments, arrêts de travail, pensions d’incapacité et d’invalidité…)

Ainsi contribuer à une meilleure qualité de vie au travail entraîne une économie directe dans le budget de la sécurité sociale.
Nos responsables peuvent apprendre à adopter une meilleure hygiène de vie et améliorer l’ambiance de travail. Est-ce là, tout simplement, la clé du bonheur au travail ?

La santé est si précieuse !

01
JUIL
2019
Le stress en milieu comptable

Le stress en milieu comptable

Conférence organisée par l’Enoes, Ecole de l’expertise comptable et de l’audit, sur le thème du stress en milieu comptable.
Intervention du docteur Jean-Luc Haziza, médecin spécialiste, conférencier-formateur expert de la gestion du stress.
Au programme :
Approche médicale du stress : quels sont les symptômes du stress professionnel, de la dépression, du burn out, quelles en sont les causes…

 

11
AVR
2018
Interview pour le magazine la phytothérapie européenne

Interview pour le magazine la phytothérapie européenne

Une technique innovante, non-pharmacologique, de traitement du stress : la Neuro-énergie®

28
MAR
2018
La chute de neige était annoncée depuis plusieurs jours par les prévisions de la météo.

J’en suis tombé à la renverse!

La chute de neige était annoncée depuis plusieurs jours par les prévisions de la météo. Plusieurs jours qui auraient dû servir à mettre en place une véritable prévention.

Gouverner c’est prévoir

…parait-il!

Et puis la demande officielle de laisser son véhicule au garage et de prendre plutôt les transports en commun.
Une belle idée de la prévention routière!

Seulement voilà : les trottoirs restent enneigés et le lendemain, après une nuit de gel, ils sont transformés en véritables patinoires. Le bilan est lourd, les pompiers et les urgences hospitalières sont débordés. Un nombre considérable de fractures:  des poignets, des côtes, des hanches…

Et moi-même… Je suis tombé à la renverse sur le trajet du tramway, sur un trottoir gelé. Blessé au poignet. Ironie du sort mes documents sur la gestion du stress tombés de mon sac se sont étalés eux-aussi sur le trottoir.

Étrangement cette situation présente beaucoup de ressemblance avec le stress au travail.

Le manque de prévention des responsables

Il aurait suffi de saler à l’avance les trottoirs et les passages piétons. De mobiliser les employés municipaux et pourquoi pas demander aux militaires de venir renforcer les effectifs.

Les injonctions contradictoires

Demander à la population de prendre les transports en commun, bien, mais au moins augmenter leur cadence et répondre au besoin accru. Et bien entendu faire dégager les abords des stations. Et bien non, il n’en a rien été, les stations de métro sont restées entourées de verglas.
Le comble ! La neige déblayée des rails du tramway a été amassée en monticules de qui barraient l’accès aux passages piétons des stations.

Les passages piétons et les trottoirs encombrés de neige et de glace.

Au fond marcher sur la chaussée devenait le moyen au moindre mal pour ne pas glisser mais par contre au risque de se faire renverser par un chauffeur distrait ou maladroit.

Les sanctions

 La course aux PV avec ces nouveaux employés chargés de ratisser les rues de Paris et de verbaliser les véhicules en stationnement.
Paradoxe: les autorités nous ont recommandé de ne pas prendre notre véhicule et elles sanctionnent le stationnement ?!

Le plus douloureux : l’indifférence

Le plus pénible lors de ma chute et pour moi, le plus  significatif a été le regard indifférent de cet homme qui m’a vu  tomber, qui n’a pas fait le moindre geste pour m’aider ni même adopté une expression compatissante. Non, une lamentable indifférence…

 En fait, il y a trois regards que l’on peut porter sur la vie :

  1. Mener sa vie avec des œillères : ce qui se passe n’est pas son problème, rester fermé à tout ce qui n’est pas dans son cadre. Comme ce spectateur de ma chute.
  2. Mener sa vie en mercenaire : avec la soif d’arriver, avec de griffes et des crocs. Comme dans cette vidéo publiée sur FB: Postés à un angle de rue très glissant, deux imbéciles se sont amusés à rire des gens qu’ils filmaient dans leurs chutes. Au lieu de penser à les prévenir du danger qu’ils avaient repéré.
  3. Mener sa vie avec cœur : animé de bienveillance et de respect. C’est la seule façon que nous ayons de faire évoluer notre société.

 

Ainsi il n’y a pas de vraie frontière entre le stress professionnel et le stress de la vie courante en société, y compris dans le microcosme que représente la famille.

A chacun de nous de créer autour de lui une ambiance agréable, solidaire, aimante. Que ce soit dans la vie courante comme dans le cadre professionnel ou dans le cercle familial. Dans mes conférences je les appelle « les règles d’or »:

La bienveillance, la gratitude et le respect représentent des valeurs fondamentales pour faire progresser une société où il fait bon vivre.

08
MAR
2018
Le Stress comment y remédier ? Conférence du Dr J-L Haziza au Lycée Hélène-Boucher à Paris

Le Stress comment y remédier ? Conférence du Dr J-L Haziza au Lycée Hélène-Boucher à Paris

Les stress fléau de notre société moderne. Il représente en France 50% des arrêts de travail. Comment le définir ? Quel est son impact sur notre santé ? Quels sont les troubles émotionnels qu’il provoque ? Comment et qu’elles sont les solutions pour y remédier.